Mardi 14 Juin 1988 LApéritif
Dans le personnel de lagence javais une jeune secrétaire aux avantages physiques importants et qui les montraient, entre autres en mamenant le courrier, elle se débrouillait toujours pour que je puisse avoir une vue imprenable dans son généreux décolleté, mais je métais fixé une règle de ne jamais avoir aucun rapport même amical avec le personnel travaillant sous mes ordres, ses appâts étaient tentant mais,
Un jour une de ses collègues vint mannoncer que cette jeune secrétaire était enceinte, ce qui nétait pas un événement en soit dans la mesure quétant jeune et mariée, c était dans les possibilités. Mais sa collègue venait surtout me rapporter que lors de sa précédente grossesse au cinquième ou sixième mois elle sétait fait portée malade et son arrêt avait duré six mois. Jétais prévenu et effectivement vers la fin du quatrième mois, elle fut absente une semaine, puis, de nouveau une semaine,
pour enfin trois mois avec possibilité de prolongation après laccouchement. Par lintermédiaire dun bureau dintérim, javais embauché une secrétaire, Mme Monique C, dame de 29 ans, jolie brune aux cheveux longs, coiffés en chignon ou en queue de cheval, enfin jeune femme agréable et qui avait la particularité davoir travaillé comme secrétaire à lambassade de France au Sénégal, pays où javais moi-même travaillé. Très rapidement elle avait pris notre rythme et notre façon de travailler. Pendant ce temps, javais négocié une mutation dans un organisme de contrôle et laffaire était en passe dêtre conclue, je devais quitter mon poste fin juin et devais laisser la place à mon adjoint qui devenait mon successeur. Ce jeudi Mme Monique C, vint dans mon bureau et me dit : « Jai appris que vous nous quittiez, je tenais à vous dire que jai travaillé avec plaisir sous vos ordres et avec mon mari nous aimerions vous inviter, un soir à prendre lapéritif, et nous pourrions parler du Sénégal »
Moi : « Avec plaisir, quand il vous plaira »
Monique : « Jen parle à mon mari pour la date »
Et date fut prise pour le Mercredi 22 juin à 19,00 h.
Monique : « Entrez, merci, il ne fallait pas, suivez moi,
»
Nous étions au salon et je remarquais, surpris intérieurement, quelle nait rien préparé pour lapéritif, alors que cétait une femme, à priori, organisée
Monique : « Asseyez-vous, prenez le sofa il est confortable
mon mari ne sera pas là,
il a été appelé pour remplacer un collègue malade,
»
Moi : « Nous aurions pu reporter »
Monique : « Il ma demandé de vous prier de lexcuser. Il mavait demandé de voir avec la possibilité de changer la date, mais,
prise par dautres occupations, jai oublié,
que buvez vous, Martini, Whisky,
»
Moi : « Martini sera parfait »
Ayant fait mon service militaire, je savais quà tout moment vous pouviez être appelé au service, donc sa remarque était valable, quand je me souvins que son mari adjudant-chef dans le génie était responsable de lentretien des bâtiments, il était difficile de croire quil pouvait être appelé au dernier moment, mais cétait dans les choses possible, mais, Il mapparaissait que cette femme que je connaissais comme très organisée ait pu oublier de changer un rendez-vous ?
Dautre part, habituellement calme, elle était nerveuse ou plutôt fébrile, disons, comme une jeune fille qui se trouve avec son premier amant et ne sait quoi faire, comment faire pour dire oui. Tout cela mis bout à bout me fit penser que lapéritif pouvait nêtre quun motif pour entamer autre chose. Etait-elle en trains de se demander ce quelle faisait, comment je pouvais comprendre,
Layant branché sur lAfrique la discussion ne chômait pas. Je décidais de prendre les choses en main, mais aussi souplement que possible, ne tenant à avoir un problème avant mon départ et que ce que jenvisageais de faire était hors limite de mes règles. A la limite je me ramassais une paire de claques et passer pour un goujat, mais,
Toujours fébrile, alors quelle arrivait de la cuisine, je me suis déplacé sur le sofa et je lui dis : « Tenez,
asseyez vous là,
cest effectivement plus confortable » et cest ce quelle fit, avec juste un brin d hésitation.
Monique : « Je laime beaucoup,
» et lui tournant le poignet pour avoir la paume de la main en lair, je mabaissais et embrasais le creux de la paume. Elle eut un frisson et un OH. La claque ou je ne suis pas celle que vous croyez nétant pas arrivé, de la paume je remontais le long du bras, jusquau coude, elle semblait tétanisée. Glissant un bras derrière elle, je lattirais vers moi et posais mes lèvres sur les siennes,
lèvres closes,
puis qui souvrent juste pour me permettre de glisser un bout de langue
la bouche souvre, la langue sactive,
la respiration saccélère,
le torse se laisse aller contre moi. Je lattire vers et sur moi, en lembrassant dans le cou, puis dans le décolleté et là, opération délicate, je déboutonne les premiers boutons du corsage, et plus aucune résistance. Surprise, Monique se redresse et défait tous les boutons et apparait son soutien-gorge, que jessaye de défaire, elle se redresse et me dit : « Il y a un clip devant, cest plus facile,
» effectivement en appuyant sur ce clip, le soutien-gorge souvre en deux et deux beaux seins, gros, bien remplis, me sautent au visage, plus jeune on aurait dit classe C (confortable) ou D (Dodu) avec de larges aréoles et des tétons déjà bien gonflés qui ne demandent quune chose cest dêtre pris et dêtre tétés, sucés, et cest ce que je fis. Monique collaborant largement en me les donnant lun après lautre, avec la respiration qui saccélère et : « Oui,
oh,
Oui,
», pour enfin se redresser et me dire : « Viens, on va dans la chambre damis, on sera mieux,
».
Subtile délicatesse, on trompe son mari, mais pas dans le lit conjugal. Dans la chambre damis deux lits une place mais resserrés, ce qui donne de quoi sébattre. A peine arrivé, nous continuons la partie de lèche museau, et elle de plus en plus gourmande et pendant se temps chacun se déshabille du haut et nous nous retrouvons torse nu tous les deux.
Moi « Arrêtes,
cest bon, mais si tu continues, je ne vais pas tenir longtemps,
» et la redressant, je la poussais vers et sur le lit, pour lui enlever sa petite, très petite culotte, qui me parut bien humide, ce qui me confirma dans mon idée quelle pensait à se faire sauter depuis un bout de temps. Ceci étant fait, elle écarta les cuisses, ce qui me parut une invite supplémentaire à moccuper de sa chatte. Ce que je fis. Je me couchais entre ses cuisses pour humer avec plaisir son odeur de femme bien chaude bien mouillée,
Dés les premiers coups de langue elle se mit à gémir avec des OH, des OUI,
Plus ma langue parcourait et suçait ses grosses lèvres plus elle paraissait souvrir physiquement au plaisir. Alors que je commençais à la prendre en douceur avec un doigt, elle réagit : Arrêtes,
pas ça,
prends moi,
fais moi lamour,
pas tes doigts, cest ta queue que je veux,
baises moi,
baises moi fort,
cest toi que je veux,
je veux te sentir me prendre,
viens prends moi,
»
Je remontais vers ses lèvres et me prenant elle me dirigea vers sa grotte damour qui était chaude, détrempée, ouverte. Je commençais mes va et vient et à chaque coup de rein, cétait des OOHH, OOHH, OUI, OUI, ...elle était tellement chaude que tout à coup : « OuiIIII,
restes,
OUIIIIIII, je vais jouir,
continues,
OUIIIIIII,
.
Monique se callant un peu plus contre moi : « Ce que je regrette »
Moi : « Ah, ce nest peut-être pas le moment ? »
Monique : « Idiot, ce nest pas dêtre devenu ta maitresse, cest que jaurai du tinviter à lapéritif plus tôt et on aurait pu profiter, plus, lun de lautre, cest ça que je regrette »
Moi : « Pourquoi tu ne mas pas invité plus tôt, vue les circonstances, jaurais certainement accepté »
Monique : « Quelles circonstances ? »
Moi : « En fait je me suis fait une règle de ne jamais avoir de rapport personnel avec le personnel avec qui je travaille, mais étant donné que je quitte bientôt et un apéritif ce nest rien, jaurais certainement accepté cette invitation sans imaginer aller plus loin. Donc pourquoi tu as hésité ?»
Monique : « Je vais te faire une confidence,
je ne savais pas comment taborder,
et je nai jamais dragué quelquun,
en fait quand mon mari ma dit quil ne pourrait être présent, jai failli annuler lapéritif,
puis jai hésité,
puis je me suis dit que je me faisais des idées,
je verrais bien ce que tu ferais,
bon, pour être plus précise, je nai jamais trompé mon mari,
tu es mon premier amant,... content »
Moi : « Cest flatteur, merci,
»
Monique : « Jai soif, je vais aller boire un verre deau »
Moi : « Bonne idée, je viens avec toi »
Et tous deux, nus, on se retrouva à la cuisine. Heureusement, elle nalluma quun néon au-dessus du plan de travail, lumière douce, et sortant du frigidaire une bouteille deau elle servit deux verres. Etant désaltérés, elle récupéra la bouteille pour la mettre au frigidaire. La voyant ainsi de dos, elle avait un corps magnifique, je me collais derrière elle et pris dans chaque main un sein. Elle se laissa aller contre moi avec : « Oui, caresses moi,
jaime,
». Je faisais rouler ses tétons dans le creux de mes mains. Javais retrouvé une vigueur certaine, vigueur qui se coinçait dans la fente de son joli cul. Ma main droite lâchant son sein descendit jusquà son entrejambe, quelle ouvrit pour me faciliter laccès à son minou alors que sa main droite était passée entre nous et avait pris possession de ma queue, la caressant doucement elle me dit : « Jai comme le sentiment que tu as des idées » et sappuyant sur la table : « Jai envie,
viens,
prends mois vite,
prends moi ici,
». En position, mes mains remontèrent de ses cuisses, quelle écarta largement, vers sa chatte que je caressais, poursuivant de la fente de ses grosses lèvres, vers la fente de son fessier et redescendais : « Arrêtes de me faire attendre,
prends moi,
baises moi,
viens,
je suis prête,
». Je me décidais à faire ce quelle me demandait et dont javais grande envie et me positionnant, dun bon coup de rein menfonçais dans sa grotte damour où elle maccueillit avec un OOOHHH OUIII. Moi, cramponné à ses hanches et elle au bord de la table, après un début en douceur, javais augmenté sérieusement la cadence de mes va et vient qui étaient rythmés par des « OOOHHH OUIII, OUIII
continues,
OUI,
» Disons que javais la situation en main et lenvie me prie de lui claquer une fesse : « OOHH, Oui,
encore,
» Je ne me le fis pas dire une autre fois, cela semblait lexciter, je claquais lautre fesse et « Ouiii,
jaime,
je voudrais,
oui,
prends moi par derrière,
», et sentant mon hésitation, vue notre position : « Oui,
encules moi,
je me suis préparée pour ça,
pour toi,
je te veux par là,
jen ai très envie, ,
commences doucement,
on ne ma jamais prise par là,
oui,
jen ai envie,
jai rêvé que ce serait toi,
». Ne pas se plier à un tel désir eut été un outrage, surtout avec le cul quelle avait, donc sans hésiter, jabandonnais sa chatte pour investir sa rosette, qui, au début sembla résister, mais rapidement souvrit et enfin se laissa envahir sans trop de difficultés. Toujours cramponné à ses hanches je mactivais dans son beau cul, ce quelle semblait apprécier : « Oui,
continues,
jaime,
OOOHHH,
oui,
» et voulant la pousser je lui dis : « Caresses ta chatte,
tu vas aimer être prise des deux cotés,
»
Monique : « Oui,
tu veux,
ça texcite,
mais continues,
prends moi fort,
» et elle glissa sa main vers son minou et commença à se caresser. Voyant ça : « Rentres,
prends toi,
avec tes doigts » à peine cétait elle pénétrée quelle poussa un cri de plaisir et que je me vidais dans son cul. Elle se laissa tomber sur la table, le souffle court. Ayant un peu soufflé nous allâmes dans la chambre nous mettre au chaud. De nouveau elle se calla contre moi : « Je suis contente,
cétait bon,
fais moi un câlin,
» et elle sassoupit, ses seins contre ma poitrine, sa chatte contre une de mes cuisses.
La position était agréable et confortable, mais le réveil sur une table de nuit, indiquait quil serait bientôt minuit. Je me disais quil serait prudent que je parte, car je risquais de mendormir et que se passerait-il le matin, en cas de panne de réveil.
Donc discrètement, je me sortais du lit, mais certainement pas assez car Monique se tournant : « Quest ce que tu fais ?»
Moi : « Je men vais, demain on a école,
et ton mari,
»
Monique : « Non, restes, il ne rentre que vers 8,00h à la fin du service, restes,
»
Moi : « Non, soyons raisonnable,
»
Monique : « Jaurais aimé passer la nuit avec toi,
mais tu as peut-être raison,
» et se levant elle passa un peignoir et je mhabillais.
Moi : « Tu aurais pu rester, comme tétais »
Habillé, prêt à partir dans lentrée, je lattirais vers moi, pour un dernier baiser, mais le peignoir souvrit et ne pouvant résister à la tentation je prenais ses seins et les embrassais et suçais les tétons. Pas de résistance, bien au contraire. Glissant ma main gauche dans son dos, je lattirais contre moi, sans problème, elle se laissa faire et ma main droite descendit entre nous. Sachant quelle était le but à atteindre ce fut : « OOOHHH,
non,
pas ça,
» ses cuisses, malgré tout, souvrirent pour me laisser avoir accès à son minou encore tout chaud. Minou dans lequel glissèrent deux doigts, tellement il était lubrifié et je commençais des va et vient rapides ponctués par des « OOOOHH,
Oui,
cest bon,
arrêtes,
OOOHHH,
non, narrêtes pas,
OUIIIIIIII,
je JUOIIIIIS,
» et se cramponnant à moi elle fut saisi de petits spasmes rapprochés qui la laissèrent essoufflées : « Tas gagné,
tu es content de toi,
je me conduis comme la dernière des dernières,
mais cétait bon,
»
Moi : « Mais,
tu as aimé,
où est le problème,
»
Monique : « Je ne sais pas,
tu me fais perdre la tête,
»
Moi : « Moi, je ny suis pour rien ou presque rien,
cest toi qui vient de découvrir que tu aimes le sexe,
que tu aimes, disons,
tu aimes baiser,
et ça te surprend,
»
Monique : « Mais, je devrais pas te le dire,
jaime faire lamour avec mon mari,
et je me sens un peu fautive de le tromper ainsi,
»
Moi : « Ne mélanges pas tout,
tu aimes faire lamour avec ton mari, cest normal,
avec moi taimes baiser,
cest différent,
bien à ce matin au bureau,
»
Monique me rendant ma bouteille : « Ce nest pas la peine que mon mari se demande doù vient cette bouteille » Je la repris et rentrais dans mon appart pour finir une nuit bien commencé.
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